Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Retour avec fracas...

Bonjour à toutes et à tous !

Me voilà enfin de retour dans mes terres neuchâteloises. J’ai été ravi de retrouver mon appartement, mes amis et cette ville si chère à mon cœur ; et j’étais encore plus ravi, après quatre heures de train (toujours très barbantes) de retrouver Davy en train de m’attendre sur le quai de la gare… Bon il faut aussi dire que je l’ai un petit peu obligé à venir me chercher, sans pour autant exiger qu’il soit là ;O). Après un passage obligé à la COOP (pour acheter un petit en-cas et du lait pour mon café), nous sommes allés chez moi pour que je dépose mes affaires et je me prépare pour la soirée…

Car il faut le savoir : lorsque vous voyez des photos de moi sur ce site, eh bien je ne suis pas tout à fait naturel : il faut compter le rasage, la douche, la crème, une longue session de maquillage et d’habillage ainsi que, dans des cas très exceptionnels et désespérés, quelques petites injections de botox pour faire en sorte que ma peau soit de marbre comme celle d’un garçon de quinze ans. C’est ainsi que, rentré chez moi vers dix-huit heures, j’ai dû faire patienter Davy presque deux heures avant d’être enfin prêt pour sortir et affronter la « soirée du grand retour » (bon, en effet il a aussi patienté deux heures chez moi car son cher et tendre était censé nous rejoindre dans mon humble appartement entre 19h30 et 20 heures).

Une fois le petit groupe au complet (c’est-à-dire une fois que Sam a débarqué chez moi), nous sommes allés manger des crêpes chez Bach et Buck (enfin, c’est surtout votre Paadre qui s’est goinfré avec deux crêpes immenses alors que son CardinaL du Haut du Canton et son HC ont été beaucoup plus modestes et modérés) et nous avons passé un moment très convivial pendant lequel on a discuté de quelques projets qui touchent aussi ce site (mais je ne vous en dis pas plus pour l’instant… rendez-vous le 26 mars…).

Après la crêperie, nous sommes partis en direction de l’appartement de mon CardinaL du Littoral Est à Colombier où nous attendait une suite de soirée fort sympathique avec des invités à la renommée internationale comme par exemple ma CardinalE du Littoral Ouest, Adrien, Céline, Carole et Vincent, Nathalie ou encore Matthieu, le grand-frère de Romain. La bonne humeur était au rendez-vous et les deux CardinauX qui administrent le Bas du Canton étaient bien motivés pour faire la fête jusqu’à la levée du jour… Et c’est un peu ce qui s’est passé : vers 23h45 cette petite compagnie a quitté l’appartement de Romain et une bonne partie de la compagnie s’est rendue à Neuchâtel en tram (croyez-moi, c’était plus sage que d’y aller en voiture) pour poursuivre la soirée au Paradox.

Arrivé au Paradox je commençais déjà un peu à tituber à cause de l’alcool, mais j’étais bel et bien déterminé à passer une bonne soirée en compagnie de mes amis (de plus que j’avais passé deux heures au maquillage et que je m’étais injecté trois fioles de Botox) ; et ce fut le cas ! J’ai passé des très bons moments avec toute cette compagnie de gens (dommage que Sam et Davy soient rentrés lorsque nous avons bougé sur Neuchâtel) et en plus j’ai retrouvé Julien avec qui j’ai passé un bon moment pendant la soirée. Seule ombre au tableau de cette soirée géniale : j’ai reçu deux coups de poing en pleine figure ! Bon il faut dire que je les ai mérités car, contrairement à mes habitudes, je n’ai pas été très arrangeant avec le gars qui était derrière moi et qui me bousculait et je pense qu’il n’a pas adoré le « fuck » que je lui ai fait avec mon petit majeur. Enfin, il n’y a pas de quoi faire une tragédie : mon nez est toujours à sa place (mince, la rhino plastique sera pour une autre fois) et les dents aussi.

Voilà donc, je suis rentré chez moi un peu dépité par ce dernier événement, mais je ne suis pas quelqu’un que l’on peut abattre avec deux coups de poings qui n’on causé qu’un tout petit saignement du nez… De plus que je l’ai cherché le jeune (et pourtant j’aurais dû réaliser que j’avais affaire à un de ces hétéros frustrés qui ne savent pas communiquer qu’avec la violence physique). Donc voilà, ce fera une anecdote de plus à raconter à mes petits enfants, ou, probablement, aux petits-enfants de mon frère :D.

Bien à vous

Votre Paadre dévoué

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :